7 mars 2020

Zachary en Voyage - Islande 🇼🇾 - Relñche 2020







Pour la relĂąche de la derniĂšre annĂ©e d’école primaire de notre fils, Zachary en Voyage 2020 se dĂ©roule en Islande du 1er ou 7 mars.


Islande, pays des Vikings insulaires nordiques aux paysages spectaculaires composés de volcans, glaciers, geysers, sources chaudes et champs de lave.


29 février 2020


Five Guys Burger
Pour sauver des sous, nous nous sommes rendus Ă  l’aĂ©roport international de Boston-Logan en auto pour prendre un vol direct vers l’Islande. Nous avons quittĂ© St-Jean-sur-Richelieu vers 8 h en route pour Boston, Mass. .


En cours de route, le narrateur a initiĂ© Manon et Zachary aux dĂ©licieux burgers de Five Guys et ils ont adorĂ©. Vu les prix exorbitants des stationnements Ă  l’aĂ©roport Logan, nous avons laissĂ© notre Volks AllTrack Ă  un hĂŽtel Ă  proximitĂ© et une navette nous a conduit vers Logan.



À 20 h, nous dĂ©collions vers l’Islande pour un vol de 5h Ă  bord d’Icelandair.

Vol de nuit vers l'Islande





















1er mars




AprĂšs un vol sans histoire ou nous avons tentĂ© de dormir, nous sommes arrivĂ©s Ă  l’aĂ©roport de Keflavik vers 6h AM, l’Islande Ă  4h d’avance comparĂ© Ă  l’heure de chez nous. 


Suite à la rapide récupération des bagages et du passage des douanes, le narrateur a été au kiosque de location de véhicule Europcar pour prendre possession de notre maison-véhicule pour notre congé de relùche 2020. AprÚs avoir signé les papiers, la dame lui a remis les clés en disant que le véhicule nous attendait dans le stationnement, mais que nous devions attendre le responsable qui devait arriver à 8h AM.


Le narrateur Ă©tait fĂ©brile de faire la connaissance du vĂ©hicule. Celui-ci fut rapidement trouvĂ© dans le stationnement malgrĂ© qu’il fĂ»t enneigĂ©. Il s’agit d’un Mercedes Metris Marco-Polo 4 x 4 montĂ© sur 4 pneus d’hiver Ă  clous et la transformation en campeur est fait par la fameuse compagnie Allemande Westfalia. L’intĂ©rieur ressemble beaucoup Ă  notre Volks Eurovan que nous appelons affectueusement Zackou97, mais en plus moderne.


Manon et Zachary ont prit un dĂ©jeuner rapide Ă  l’aĂ©roport et ils sont venus rejoindre le narrateur Ă  bord du vĂ©hicule que nous avons nommĂ© Marco. Le narrateur l’a dĂ©neigĂ© alors que Manon a commencĂ© Ă  dĂ©faire nos bagages et les placers ainsi que la nourriture que nous avions apportĂ©e pour notre sĂ©jour.

Mercedes Metris Marco-Polo 

Vers 8h, le trĂšs attendu prĂ©posĂ© d’Europcar s’est montrĂ© le bout du nez pour nous expliquer le fonctionnement de Marco et il nous a remis une tablette de marque Lenovo qui allait nous procurer l’internet 4G illimitĂ© pour notre sĂ©jour en Islande.


Dans les mois qui avait prĂ©cĂ©dĂ© cette aventure, Manon a passĂ© plusieurs soirĂ©es Ă  la recherche et planification de ce pĂ©ril. Donc, quand il fut temps de quitter l’aĂ©roport Keflavik, elle Ă©tait bien prĂ©parĂ©e et armĂ©e de plusieurs documents pour nous guider sur cette Ăźle d’Europe. Via la tablette Lenovo, elle a consultĂ© son iPad et elle a pitonnĂ© notre premiĂšre destination.


Nous avons quittĂ© l’aĂ©roport en mĂȘme temps que le soleil se levait. Nous avons roulĂ© vers le sud en prenant la route 43. Au loin dans un champ de pierre volcanique, il y avait de la vapeur qui sortait du sol et nous avons rĂ©alisĂ© que c’était le Blue Lagoon, endroit que nous allons visiter Ă  la fin de notre voyage. 

Il y avait un olĂ©oduc qui provenait de l’endroit et qui se rendait Ă  la ville plus au sud, Grindavik. Nous avons lu que plusieurs villes utilisent l’énergie gĂ©othermique pour chauffer leurs maisons. Rendu Ă  Grindavik, nous avons pris la route 427 vers l’est.


En empruntant cette route, nous avons pu avoir un premier aperçu de la mĂ©tĂ©o Islandaise. Il y avait des forts vents violents et la route Ă©tait blanchi de neige poudreuse. Une chance les chemins sont banalisĂ© de piquets jaunes de chaque cĂŽtĂ© de la route a tous les 100 mĂštres. Le narrateur commençait Ă  ĂȘtre un conducteur stressĂ© et il Ă©tait heureux d’avoir des pneus Ă  clous.

Route 427 Ă  l'est de Grinavik

Quand nous avons commencĂ© Ă  longer la cĂŽte, nous pouvions voir la mer et des Ă©normes vagues qui heurtaient violement les rochers et nous circulions au milieu de champs de pierre de lave enneigĂ© a perte de vue. Le mĂ©lange de pierres noir et la neige blanche faisait un spectacle visuel impressionnant. Nous nous sommes arrĂȘtĂ©s pour prendre quelques photos et nous avons pu sentir la force du vent. 


24 km. plus tard qui nous donnait l’impression de 100 Ă  cause des conditions, nous Ă©tions rendu Ă  la route 42 que nous devions prendre pour aller visiter KrysuvĂ­k (zone gĂ©othermique avec sources chaudes) et le Lac Kleifarvatn. Malheureusement, celle-ci Ă©tait fermĂ© dĂ» aux conditions mĂ©trologiques.


La planificatrice-navigatrice Manon nous a faite continuer sur la route 427 toujours aussi enneigĂ© de poudreuse et de vents violents. Le niveau de stress du narrateur a encore montĂ© de quelques coches. 


AprĂšs 45 minutes sur la 427, puis la 39 vers le nord, nous Ă©tions rendus sur les lieux de notre premiĂšre visite de Zachary en Voyage – RelĂąche 2020 Ă  RaufarhĂłlshellir.


Nous Ă©tions rendus ici pour visiter le 4e plus long tunnel de lave d’Islande. 

***   Un tunnel de lave est formĂ© par une coulĂ©e volcanique qui s’est refroidie en surface en formant une croĂ»te solide mais dont le cƓur est restĂ© fluide, permettant Ă  la lave de continuer Ă  s’écouler. Lorsque la coulĂ©e cesse d’ĂȘtre alimentĂ©e par l’éruption, elle se vide et laisse une cavitĂ© en forme de galerie ou tube.         ***   (WikipĂ©dia)


Il y avait un vent de fou quand nous sommes arrivĂ©s au The Lava Tunnel, une chance que nous avons pu stationner Marco prĂšs du bureau d’accueil. Heureusement, il restait des places pour la prochaine visite qui dĂ©butait dans 15 minutes et ils nous remirent des crampons munis de petites chaines et un casque Ă©quipĂ© d’une lampe frontale.

Notre guide s’est prĂ©sentĂ© et aprĂšs quelques explications d’usage, nous sommes sortis Ă  l’extĂ©rieur braver les forts vents et la poudreuse pour marcher les 400 mĂštres pour nous rendre Ă  l’entrĂ©e. Whow! Quelle entrĂ©e? Il s’agissait d’un minuscule trou dans un Ă©norme banc de neige avec des marches en neige pour y descendre. 



Une fois Ă  l’intĂ©rieur, nous Ă©tions Ă  l’abris des vents et il rĂ©gnait un grand calme. Il y avait deux trous ou il y avait des accumulations de neige. Ont avaient l’impression qu’il s’agitait de chutes et que l’eau Ă©tait remplacĂ©e par la neige.



Nous avons continuĂ© Ă  nous enfoncer dans ce tunnel formĂ© suite Ă  une Ă©ruption volcanique il y a plus de 5200 ans. Le sentier est superbement Ă©clairĂ© pour mette en valeur les diffĂ©rentes couleurs des rochers, des minĂ©raux et des glaçons. 



L’endroit est muni de plusieurs passerelles. Au bout de ceux-ci, ils ont fermĂ© les lumiĂšres et nous sommes restĂ© dans une noirceur totale pendant une minute, assez spĂ©cial comme sensation. Il faisait noir comme dans le trou


.
d’un tunnel.

Ce fut une belle visite. Quand nous sommes sortis par l’étroite passage de neige, nous avions maintenant le vent de face et la marche vers le centre d’accueil fĂ»t difficile. Manon avait le visage rouge en guise de souvenir.


L'entrĂ©e et sortie du LAVA TUNNEL

De retour Ă  bord de Marco, nous avons mis le cap pour la capitale de l’Islande, Reykjavik. Nous avons circulĂ© vers le nord sur la route 39 pour rejoindre la route nationale du pays, la 1. Celle-ci fais le tour de l’üle au grand complet. Zachary Ă©tait impressionnĂ© par le grand nombre de carrefour giratoire. La poudreuse et les forts vents Ă©taient derriĂšre nous.


Étant dimanche, le stationnement Ă©tait gratuit Ă  Reykjavik et nous en avons rapidement trouvĂ© un dans la veille partie de la ville sur la rue PĂłsthĂșsstrĂŠti. AidĂ© de notre Lonely Planet Reykjavik et le Sud-Ouest de l’Islande, nous avons dĂ©butĂ© l’exploration de cette ville.


Attendons pour des HotDogs 

Il  Ă©tait rendu 14h30 et la faim commençait a se faire sentir. Nous sommes allĂ©s au Boejarins Bertu Pylsur. Il s’agit d’un stand Ă  hot-dog extĂ©rieur trĂšs populaire. A notre grande surprise, il y avait une longue ligne d’attente. Le narrateur s’est placĂ© en ligne et Manon et Zachary ont Ă©tĂ© se rĂ©fugier dans un marchĂ© au puce de l’autre cĂŽtĂ© de la rue car ils avaient froid. L’attente n’a pas value la peine car les pylsurs n’étaient pas aussi bon que ceux de chez nous, vivre La Belle Province.

Nous sommes revenus sur nos pas pour nous rendre au Lac Tjörnin ou nous avions une belle vue des environs et des maisons multi-couleur. Zachary a passĂ© de longs moments Ă  prendre des photos des canards et cygnes qui nageaient dans l’eau froide. 

La fatigue du vol de nuit, du dĂ©calage d’heure (+4h) et de notre premiĂšre journĂ©e commençait Ă  se faire sentir et le froid et l’humiditĂ© nous perçaient le corps. Nous avons coupĂ© court notre itinĂ©raire de marche et sommes retournĂ© Ă  bord de Marco. Nous avons continuĂ© d’explorer ce secteur Ă  bord de celui-ci.


Nous avons abouti Ă  l’église luthĂ©rienne HallgrĂ­mskirkja. Nous avons pu nous garer sur la rue directe en face de celle-ci d’ou nous pouvions admirer sa tour d’une hauteur de 74,5 mĂštres. Cet Ă©difice qui ressemble Ă  une flĂšche a Ă©tĂ© construit en bĂ©ton de 1945 a 1986.

Église luthĂ©rienne HALLGRÍMSKIKJA

En façade, il y a une statue de Leif Erikson, fils de l’Islande et dĂ©couvreur de Vinland (Terre-Neuve) remis par les USA en 1930 pour cĂ©lĂ©brer les 1000 ans du premier parlement. A l’intĂ©rieur, c’est l’orgue qui impressionne le plus avec ses 5275 tuyaux et son poids de 25 tonnes.


Statue de Leif Erikson


Suite a cette visite, nous avons programmĂ© GoogleMap pour le camping de Reykjavik. Rendu sur les lieux, celui-ci semblait fermĂ©. AprĂšs avoir Ă©tĂ© lire les panneaux, ceux-ci disaient que le camping Ă©tait fermĂ© pour l’hiver et que nous devions nous rapporter Ă  l’édifice Ă  proximitĂ© qui Ă©tait l’Auberge de Jeunesse.


 


Il y avait dĂ©jĂ  quelques « campers Â» sur le site et mĂȘme une tente malgrĂ© l’hiver. 

Nous avions le droit d’utiliser les cuisines et douches de l’Auberge de Jeunesse. AprĂšs un souper de pates Ă  bord de Marco, nous sommes facilement et rapidement tombĂ©s sous l’emprise de MorphĂ©e.





2 mars


Suite a notre trĂšs longue journĂ©e d’hier, notre rĂ©veille fut plus tard que prĂ©vu. AprĂšs un rapide dĂ©jeuner, nous Ă©tions đŸŽŒOn the Road AgainđŸŽŒ. Nous avons quittĂ© l’Auberge de Jeunesse de Reykjavik en route vers le sud-ouest pour aller explorer le Cercle d’or dans la vallĂ©e gĂ©othermique de Haukadalur.
Le Cercle d'or est une expression dĂ©signant les trois sites touristiques les plus frĂ©quentĂ©s d’Islande : Pingvellir , les chutes de Gullfoss et le champ gĂ©othermique de Geysir. 

Zachary, le co-pilote muni de l’iPhone sur GoogleMap nous a fait prendre la route 1 vers le nord, puis la route 36 vers l’est. Le temps Ă©tait nuageux et il faisait -2° C. avec un lĂ©ger vent. Les chemins Ă©taient sur asphalte. 

Nous sommes arrĂȘtĂ©s en route admirer les paysages prĂšs du lac Pingvallavtan. Zachary en a profitĂ© pour se faire prendre en photo alors qu’il sautait d’une table de picnic. 

MalgrĂ© la supposĂ©ment baisse saison touristique, le stationnement rendu au Parc National de Pingvellir Ă©tait plein. AprĂšs avoir payĂ© les frais de stationnement, nous Ă©tions prĂȘts pour notre visite.

Le premier endroit visitĂ© Ă©tait un belvĂ©dĂšre prĂšs du centre d’accueil d’oĂč nous avions une superbe vue du lac Pingvallavtan, de la plaque tectonique qui sĂ©pare l’AmĂ©rique du Nord et l’Europe, Lögberg et Pingvallakirkja.

Plaque tectonique qui sépare l'Amérique du Nord et l'Europe

Nous avons par la suite descendu un sentier entre des rochers qui Ă©tait la plaque tectonique qui sĂ©pare l’AmĂ©rique du Nord et l’Europe, celle-ci s’élargie supposĂ©ment de +- 3mm. par annĂ©e. 

Au bas de sentier se trouvait Lögberg, qui signifie en français Rocher de la Loi. C'est au pied de ce rocher, Ă  l'intĂ©rieur de la faille, qu'est nĂ© l’Alping, le premier parlement au monde en l’ans 930. L’endroit Ă©tait difficile a imaginer car le lieu Ă©tait enneigĂ©.
Nous avons continuĂ© notre marche vers les chutes ÖxarĂĄrfoss. Le sentier se faisait en lĂ©gĂšre montĂ©e et il Ă©tait trĂšs difficile Ă©tant glacĂ© causant plusieurs glissades. Les chutes comme telle n’avait rien d’extraordinaire.

Nous sommes revenus sur nos pas et avons traversĂ© une riviĂšre pour nous rendre Ă  l’église de Pingvallakirkja. Ce mot signifie Ă©glise des plaines du Parlement. L’église luthĂ©rienne originale aurait Ă©tĂ© construite vers l’ans 1000 et celle actuellement sur le site date de 1859.

Ă©glise des plaines du Parlement

PrĂšs de celle-ci, il y a un cimetiĂšre et des petites rĂ©sidences qui auraient servi a une certaine Ă©poque au premier ministre comme maisons d’étĂ©. Manon et Zachary se sont approchĂ©s le nez proche des vitres de l’église pour fouiner Ă  l’intĂ©rieur.
 
Nous Ă©tions rendus de l’autre cĂŽtĂ© de la riviĂšre, nous avons pris un petit sentier et traverser un pont pĂ©destre pour rejoindre la piste de la plaque tectonique menant vers le centre d’accueil. Rendus Ă  celui-ci, nous avons Ă©tĂ© Ă  l’intĂ©rieur pour nous rĂ©chauffer.

Voyant que le musĂ©e Ă©tait gratuit pour les enfants, nous avons laissĂ© Zachary aller le voir pendent que nous relaxions. AprĂšs une quinzaine de minutes Ă  l’attendre, le narrateur s’est dĂ©cidĂ© de payer les 100 Couronnes islandais (10$C) pour aller voir ce qu’il faisait et le ramener. Il Ă©tait debout devant un appareil qui reprĂ©sentait la plaque tectonique qui sĂ©pare l’AmĂ©rique du Nord et l’Europe. Par la suite, notre planĂ©tologue en herbe s’est beaucoup diverti Ă  faire des recherches archĂ©ologiques. 


Le narrateur a aimĂ© le prĂ©sentoir qui montrait un rassemblement des premiers parlements des Islandais des annĂ©es 930 Ă  Lögberg. Tous les Vikings Ă©taient assis dans un grand cercle et c’était impressionnant de voir leurs habillement et boucliers. 

De retour Ă  bord de Marco nous avons continuĂ© notre route du Cercle d’or.  Nous avons pris la 365 vers l’est, la 37 toujours vers l’est et finalement la 35. AprĂšs 60 km. et 60 minutes, nous Ă©tions rendus pour voir les Geysirs.

***       Geysir est le geysir islandais qui a donnĂ© son nom Ă  tous les autres, et dont le terme vient du verbe islandais gjĂłsa signifiant « jaillir Â». Il est situĂ© dans le champ gĂ©othermique de Geysir, un ensemble de sources chaudes comprenant un autre geyser, Strokkur. Une barriĂšre symbolique (un lĂ©ger cordage tendu Ă  quelques dizaines de centimĂštres du sol) forme un pĂ©rimĂštre de sĂ©curitĂ© peu imposant que peu de gens osent franchir.*** (WikipĂ©dia) 

En se stationnant au Geysir Center, nous pouvions dĂ©jĂ  voir de l’autre cĂŽtĂ© de la rue les vapeurs poussĂ©s par le vent Ă©mis par les Geysirs. Le Geysir original est trĂšs peu actif depuis 1916 Ă  l’exception de trois jours lors d’un sĂ©isme en juillet 2020 ou il projetait de l’eau a plus de 122 m. de haut. Il dĂ©gage quand mĂȘme de la vapeur.
Nous avons marchĂ© 300 m plus loin oĂč il y avait un attroupement de gens muni de camĂ©ra et cellulaire qui attendaient. Ils 
patientaient pour la prochaine Ă©ruption du geysir Strokkur, le plus actif de l’Islande. Zachary s’est joint Ă  eux armĂ© de sa camĂ©ra.

***     Strokkur est trĂšs actif et produit une Ă©ruption toutes les 5 Ă  10 minutes. Il projette de l'eau chaude dans les airs Ă  une hauteur de 20 mĂštres, parfois exceptionnellement jusqu'Ă  40 mĂštres. .***         (WikipĂ©dia) 

Le voir exploser est trĂšs impressionnant. Avant d’éclater, l’eau gonfle et pour une fraction de seconde forme une demi-lune vitrĂ©, puis Ă©clate projetant l’eau plusieurs mĂštre en hauteur et avec le froid, l’eau se transforme en vapeur et disparaĂźt poussĂ© par les vents. Zachary a dĂ©montrĂ© beaucoup de patience Ă  l’attendre pour le prendre en photo.

Nous avons continuĂ© a montĂ© vers les diverses autres sources d’eau chaude d’oĂč nous pouvions admirer les projections d’eau de Strokkur de loin. Magnifique.

Strokkur en action

VidĂ©o de Strokkur en action captĂ© par Zachary

De retour au stationnement du Geysir Center, nous avons profité des salles de bains et nous nous sommes mis en route pour notre troisiÚme destination de la journée. Dix minutes plus tard, nous étions au site des chutes de Gullfoss.

Comme a l’habitude, une fois Marco stationnĂ©, le narrateur et Zachary sous l’excitation sont rapidement sortis voir les chutes alors Manon est restĂ© Ă  bord pour se prĂ©parer. 
Les chutes de Gullfoss (chutes d’or) sont supposĂ©ment les plus spectaculaires du pays avec ses doubles cascades de plus de 32 m. de haut. Une partie des chutes Ă©tait cachĂ© sous la glace.
Sur un panneau, nous avons lu l’histoire de SigriĂ”ur TĂłmasdĂłttir. Les terres autour du site appartenaient Ă  sa famille et une compagnie Ă©trangĂšre a voulu s’en accaparer pour transformer ces spectaculaires chutes en barrage hydroĂ©lectrique. Pour protester contre ce projet, elle a marchĂ© nue pied jusqu'Ă  la capitale Reykjavik et elle a pu freiner leurs plans et sauver ses chutes. 


Alors que nous finissions la lecture de son histoire, Manon est venue nous rejoindre pour nous annoncer qu’elle avait Ă©garĂ©e les clĂ©s de Marco dans le vĂ©hicule et qu’elles ne les trouvaient plus, ce qui a eu comme effet d’écourter notre visite.

Une fois les clés trouvées sous le siÚge arriÚre, la fatigue commençait à se faire sentir et nous avions encore de la route à faire. Notre prochaine destination était un lieu de relaxation.

Nous avons pris la route 35 vers le sud et 12 km. plus tard, nous nous sommes arrĂȘtĂ©s pour aller admirer les chute de Faxi sur la riviĂšre TungufljĂłt. 
Les chutes de Faxi

La journĂ©e commençait a se faire tard et le soleil Ă©tait en voie de disparaĂźtre quand nous sommes arrivĂ© au Secret Lagoon Hot Spring Ă  HverahĂłlmi aprĂšs avoir payĂ© 3000 ISK pour nous et O ISK pour notre fils. Zachary Ă©tait stressĂ© car nous devions prendre une douche sans maillot avant d’aller dans le bain thermal. Heureusement pour lui, il y avait quelque douche individuelle a l’abris des regards.

Cette  piscine est la plus vielle d’Islande (1891) et sa tempĂ©rature se maintien entre 38°et 40° C.. Évidemment, le narrateur et Zachary ont Ă©tĂ© les premiers a sortir des salles de changement et entrer dans l’eau. Toute une sensation aprĂšs une longue journĂ©e. 
Manon est venue nous rejoindre et nous avons rencontrĂ©s un couple de St-Hilaire avec leurs filles et les grand-parents qui venaient de la mĂȘme ville que nous, St-Jean-sur-Richelieu. C’était plaisant de se baigner dans de l’eau chaude quand il fait froid Ă  l’extĂ©rieur et qu’il y a de la neige.

Une baignade bien meritĂ© 

Camping de Selfoss


Nous sommes sortis avant la fermeture et aprĂšs une bonne douche, nous avons fait 45 minutes de route et sommes arrivĂ©s au camping de Selfoss. Le bureau Ă©tait fermĂ© et nous nous sommes garĂ©s a cĂŽtĂ© de d’autres campeurs pour la nuit.





3 mars

Nous avons dĂ©jeuner dans la cuisine du camping avec d’autres campeurs hivernaux. AprĂšs nous sommes aller faire quelques emplettes Ă  l’épicerie pour remplir le frigo de Marco et aprĂšs nous Ă©tions prĂȘt pour une autre journĂ©e d’expĂ©riences et aventures.
PremiĂšre destination, Seljalandsfoss, site de UNESCO. AprĂšs une heure sur la route 1, nous Ă©tions rendus dans le stationnement. C’est hallucinant de constater que nous sommes supposĂ©ment dans la baisse saison touristique et malgrĂ© le fait que nous Ă©tions tĂŽt le matin, le stationnement Ă©tait dĂ©jĂ  rempli Ă  pleine capacitĂ©.
chute Seljalandsfoss
Avec plusieurs autres visiteurs, nous avons pris le sentier vers le pied de la chute qui fais plus de 65 m. de haut. Rendu prĂšs de celle-ci, Zachary a pris plusieurs photos. En Ă©tĂ©, il est possible d’aller derriĂšre celle-ci, mais malheureusement, pas en hiver. 
Muni de la tablette Lenovo avec le wiki G4 qui venait avec la location de Marco, nous en avons profitĂ© pour communiquer avec les parents de Manon et leurs montrer les chutes. Ceux-ci semblaient plus dĂ©couragĂ© de voir de la neige que d’admirer Seljalandsfoss.



Nous avons continuĂ© sur le sentier ou il y avait une autre chute provenant de la falaise. Nous avons traversĂ© un petit ruisseau ou il fallait mettre nos pieds sur des roches. Zachary a filmĂ© sa maman quand celle-ci l’a traversĂ© et espĂ©rant la capter se mouillant les pieds. Manon a bien rĂ©ussi sa traversĂ©e au grand mĂ©contentement de notre jeune cinĂ©aste.
chute GljĂșfrabĂși

Nous avons continuĂ© et au loin au sommet de la falaise, nous voyons des chutes qui semblait tombĂ© dans les rochers. Au bout de la piste, il y avait un Ă©troit passage qui pĂ©nĂ©trait dans un canyon. 
Il y avait une petite ligne de gens qui attendaient pour entrer dans le canyon, il faillait sauter d’une roche a l’autre dans l’eau pour y pĂ©nĂ©trer. AprĂšs une petite attente, nous avons pu manƓuvrer sur les roches dans le petit ruisseau et rendu au bout, la trĂšs jolie chute GljĂșfrabĂși nous attendait pour nous mouiller. Zachary a bien aimĂ© le parcours pour s’y rendre. Manon et Zachary sont montĂ©s sur un gros 
rocher prĂšs du dĂ©bit d’eau pour que le narrateur les prenne en photos.

De retour Ă  bord de Marco, nous avons continuĂ© vers l’est sur la fameuse route 1. Nous avons pu voir quelques troupeaux de chevaux typiquement Islandais, connu sous le nom de cheval Islandais ou Hestur. Nous nous sommes arrĂȘtĂ©s en bordure pour que Zachary puisse s’approcher d’eux.


***
EmblĂšme de l’Islande comme peuvent l’ĂȘtre les volcans et les glaciers, ce cheval islandais est une race unique, car isolĂ© depuis plus d’un millĂ©naire des autres races Ă©quines. Petit par la taille, mais puissant et rĂ©sistant au dur climat, il a accompagnĂ© les Islandais tout au long de leur histoire. Aujourd’hui encore, cette race de cheval peuple les prairies du pays, accompagne les Ă©leveurs de moutons.
 
*** (www.islande-explora.com)




chute SkĂłgafoss

Une demi-heure plus tard nous Ă©tions rendus aux chutes de SkĂłgafoss. Cette chute provenant de la riviĂšre SkĂłgĂĄ est 62 mĂštres. de haut et d’une largeur de 25 mĂštres. 

Nous avons pu nous approcher trĂšs proche de la base. Zachary a bien aimĂ© voir les petites gouttelettes d’eau provenant des parois glacĂ©es prĂšs des chutes. 
A la droite des chutes, il y a une longue montée qui mÚne vers le haut de la falaise vers la riviÚre Skógå. Notre accession a été difficile car plusieurs des marches étaient complÚtement enneigés et aussi glacé. Zachary a perdu ses crampons a quelques reprises.

Rendu au sommet, nous avons pu admirer SkĂłgafoss d’un autre angle ainsi que les cascades de la riviĂšre SkĂłgĂĄ. Au loin, nous pouvions voir les belles prairies et la mer malgrĂ© le temps gris. La descente ne fut pas plus Ă©vidente que la montĂ©.

monté vers la riviÚre Skógå



début d'une marche de 4 km
Nous avons continuĂ© vers l’est et aprĂšs une quinzaine de minutes de route, nous Ă©tions rendus Ă  SĂłlheimasandur pour aller voir l’épave d’un avion qui s’est Ă©crasĂ© en 1973. Dans le stationnement, nous aurions pu prendre un autobus pour 75$ pour nous rendre au site, mais nous avons optĂ© pour marcher les 4 km. Zachary et Manon se sont munis de lunettes de skis et ils Ă©taient prĂȘts pour le dĂ©fi.





La marche Ă©tait plaisante sur cette plaine enneigĂ©e menant vers la mer sous un soleil timide qui travaillait fort pour faire passer ses rayons a travers les nuages. Plus qu’on s’approchait, plus la neige blanche disparaissait au profit du sable noir volcanique crĂ©ant un beau visuel.


Finalement aprĂšs 45 minutes de marche, nous pouvions voir ce vieux Douglas DC-3 dĂ©membrĂ© de l’armĂ©e AmĂ©ricaine couchĂ© dans le sable. Zachary est montĂ© sur les restants d’ailes et est entrĂ© dans l’habitacle. Manon en a profitĂ© pour s’éloigner de l’épave pour aller admirer les beaux paysages de la mer. 
L’histoire dit que l’appareil venait d’acheminer du matĂ©riel Ă  l’aĂ©roport de HornafjĂ”ur pour la station radar de Stokknes. Il est confrontĂ© au retour Ă  un important dĂ©pĂŽt de glace sur la carlingue qui l'alourdit et l'oblige Ă  atterrir, ne pouvant plus maintenir son altitude de croisiĂšre. 


L’équipe choisit le SĂłlheimasandur comme site et l’avion s’immobilise sur une riviĂšre gelĂ©e dont la glace cĂšde sous le poids de l’appareil. Les sept militaires des USA survivent et sont rescapĂ©s par hĂ©licoptĂšre par leurs confrĂšres.


AprĂšs notre randonnĂ© aller-retour de plus de 8 km. , Marco a continuĂ© est sur la 1, il a bifurquĂ© sud/est sur la 218 vers la RĂ©serve Naturelle de DyrhĂłlaey. DĂ©jĂ  une fois sur la 218, les paysages s’embellissait a chaque kilomĂštres parcouru. 

Zachary et ses parents

Nous sommes arrivĂ©s dans le stationnement en fin d’aprĂšs-midi et nous avons empruntĂ© les sentiers Ă  la dĂ©couverte de la RĂ©serve Naturelle de DyrhĂłlaey. Nous avons Ă©tĂ© au point d’observation de Reynisfjara d’ou nous avons vu la pĂ©ninsule de DyrhĂłlaey. Il s’agit du point le plus au sud de l’Islande. 

Cette pĂ©ninsule est caractĂ©risĂ©e par la prĂ©sence d'une arche volcanique de laquelle elle a tirĂ© son nom, qui signifie : l'Ăźle haute avec le passage (« trou Â») de porte. Ce trou nous faisait penser Ă  notre rocher PercĂ© en GaspĂ©sie. Avec le soleil qui descendait derriĂšre celui-ci, la vue Ă©tait jolie.



Par la suite, nous avons pris un sentier vers l’est ou le paysage de la plage de Reynisfjara Ă©tait sublime. Au loin, il avait la plage au sable noir, avec la mousse d’eau blanche causĂ© par les vagues, les montagnes enneigĂ©s et les ilots de Reynisdrangar. De toute beautĂ©, un moment magique, une des plus beaux paysages vus dans la vie du narrateur. 

plage de Reynisfjara 
 

De retour Ă  bord de Marco, nous sommes allĂ©es vers l’extrĂ©mitĂ© est de Reynisfjara Beach en prenant la route 215, mais une fois rendu, la noirceur Ă©tait au rendez-vous et nous avons rebrousser chemin pour continuer sur la route 1 jusqu'Ă  VĂ­k, aussi connu sous le nom de VĂ­k Ă­ Myrdal.

VĂ­k Ă©tant la seule localitĂ© dans un rayon de 70 km et vu l’heure tardive et la route qu’il restait Ă  faire, nous sommes arrĂȘtĂ©s pour faire le plein d’essence et pour souper au restaurant Ice Cave, nous avions une belle vue des ilots de Reynisdrangar. Manon a pris une soupe qui a coutĂ© 20$CND et Zachary et le narrateur ont optĂ© pour les Fish & Chips.
 
AprĂšs le souper, de retour Ă  bord de Marco pour faire les 140 km. qu’il nous restait  pour nous rendre au camping Skaftafell situĂ© dans le parc national du Vatnajökull. Une chance que les vents Ă©taient au repos et que le chemin Ă©tait dĂ©gagĂ©. 
75 minutes plus tard, nous entrions au camping ou il avait dĂ©jĂ  une quinzaine de campeurs. Nous nous sommes garĂ©s et avons branchĂ© Marco. Nous Ă©tions le seul campeur PopTent. AprĂšs nous ĂȘtre installĂ© et faite notre toilette, nous avons regardĂ© le ciel pour essayer de voir des aurĂ©oles borĂ©als sans succĂšs. 
Une autre belle journĂ©e bien remplie avec surement plus d’une douzaine de kilomĂštres de marchĂ©s. Merci Manon pour la planification.

4 mars

Marco au centre, le seul Poptent du lot

Le rĂ©veille s’est effectuĂ© Ă  l’aide d’une alarme car nous avions un rendez-vous pour une activitĂ© organisĂ© par notre planificatrice en chef Manon. Il faisait encore noir car
le levée du soleil se fait vers 8h30.

AprĂšs le dĂ©jeuner et avoir dĂ©neigĂ© Marco (il a neigĂ© durant la nuit), nous avons fermĂ© son toit et avons quittĂ© le camping en route pour le bureau de la compagnie Troll Expedition. Cinq minutes plus tard, nous entrions dans le stationnement qui bourdonnait d’activitĂ©.
Les responsables nous attendaient muni d’iPads et Manon leurs a remis notre rĂ©servation. Ils nous ont Ă©quipĂ©s d’harnais, casques, crampons et piolets. Ils nous ont faite prendre place Ă  bord d’un van montĂ© sur des gros pneus ballonne muni de 4 rangĂ©es. 

Nous avons pris la route 1 puis aprĂšs un chemin enneigĂ© et glacĂ© nous menant vers l’un des plus gros glacier d’Europe, Vatnajökull. Il est la plus grande calotte glaciĂšre d’Islande. D’une superficie de 8,300 km carrĂ©, il couvre 8% de la superficie de l’Islande et son Ă©paisseur maximale est d’environ 1,000 mĂštres.


Rendu Ă  destination, il y avait deux autobus rĂ©cemment abandonnĂ©s. Notre guide qui se nommait Natacha et elle venait de la Pologne nous a dit qu’il y avait exceptionnellement beaucoup de neige cette annĂ©e et les vĂ©hicules avait Ă©tĂ© abandonnĂ© la semaine derniĂšre suite a une forte tempĂȘte de neige.

Comme a chaque voyage, Zachary suit la guide de prĂšs

Nous avons marchĂ© vers une grosse montĂ©e et face a celle-ci, notre guide nous a montrĂ©e comment mettre nos crampons. Une fois installĂ©, nous pouvions constater l’efficacitĂ© de ceux-ci dans la premiĂšre grande montĂ©e. Zachary, fidĂšle a son habitude, Ă©tait premier derriĂšre Natacha. Manon et le narrateur Ă©taient Ă  la queue du groupe. Le soleil Ă©tait au rendez-vous.

Rendu Ă  ce premier sommet, il y avait une lĂ©gĂšre dĂ©cente vers un trou dans un amont de neige. Le trou Ă©tait l’entrĂ©e d’un tunnel de glace. Nous marchions sous la glace d’une couleur bleu aqua. Zachary a aimĂ© mette ses doigts dans les trous du glacier. 

A la sortie de la caverne de glace, nous avons continuĂ© notre montĂ©. Le soleil a rapidement Ă©tĂ© remplacĂ© par des nuages et mĂȘme la neige s’est mise de la partie. La mĂ©tĂ©o change rapidement. Natacha nous expliquĂ© qu’il y a un dicton Islandais qui dit : « Si tu n’aimes pas la tempĂ©rature, attend 5 minutes, ça va changer Â».


Alors que nous travaillions fort dans notre ascension avec la neige, deux corbeaux provenant du glacier sont venus atterrir prĂšs de notre guide et Zachary. Natacha nous a expliquĂ© que ces deux oiseaux venaient Ă  sa rencontre a chaque jour. Elle leurs a donnĂ© de la nourriture et mĂȘme Zachary leurs en a donnĂ©.

 Nous marchions le long de quelques crevasses et au loin en hauteur nous commencions a voir les formes des glaciers. Malheureusement la neige nous empĂȘchait de bien les voir et de prendre en photos.

Natacha s’est arrĂȘtĂ©e et elle a demandĂ© si nous voulions des bonbons Islandais. Elle a pris son piolet et elle a balayer la neige et une fois rendu Ă  la glace, elle a frappĂ© la glace Ă  l’aide du bout pointu du piolet pour obtenir des fragments de glace = bonbon Islandais. Zachary ne s’est pas fait priver pour se faire des morceaux de bonbons.


Sur le chemin du retour dans la descente, les nuages ont tranquillement quitté. Zachary avait beaucoup de plaisir a regarder des petites boules de neiges rouler vers le bas de la montagne.

Alors que nous attendions notre van aux pneus ballonne pour le transport de retour, Zachary piochait encore la glace pour des bonbons. Ce fut une trÚs belle expérience. Le seul bémol, la neige. Celle-ci couvrait toute la beauté de cette aventure. Au lieu de marcher sur de la glace avec des crampons prÚs des crevasse glacé, nous avons marché dans la neige.

Nous sommes retournés au camping Skaftafell pour diner. Avec le beau temps deretour. Nous avons opté pour rester sur le site et faire les treks. La trail commençaient prÚs de notre campement.




Nous avons marcher 1.5 km. sur un beau sentier enneigé pournous rendre à Svartifoss. Au loin, nous voyons Marco parmi quelques campeurs et la mer au plus loin. AprÚs 45 minutes de marche, nous étions rendus aux belles chutes.



les chute Svartifoss




Ce qui fait la renommĂ©e de cette chute n'est pas sa taille ou sa puissance, mais les magnifiques formations d'orgues basaltiques que l'on peut voir autour et qui lui a donnĂ© son nom. La chute d’eau tombait dans un gendre d’entonnoir formĂ© par la glace. 

Sur le chemin du retour, nous avons bifurquĂ© vers un autre chemin pour rallonger notre randonner. Le beau temps Ă©tait parmi nous car pouvions marcher sans gants. 
De retour au camping, Zachary et sa maman ont Ă©tĂ© rejoindre Marco et se reposer. Le narrateur a continuĂ© vers le centre d’information. Il a Ă©tĂ© frappĂ© par la diffĂ©rence entre des photos de 1925 et 2010 du glacier ou nous pouvions voir la grande fonte de celui-ci. Triste.

Une autre journĂ©e bien remplie. Merci Manon pour un autre belle journĂ©e et bravo Zachary pour ton enthousiaste. 

Zachary qui prépare notre souper bien merité


5 mars



Encore un matin rĂ©veillĂ© Ă  l’aide d’une sonnerie car Manon nous avait rĂ©servĂ©s une autre expĂ©dition. Alors que le soleil Ă©tait en train de se lever, Marco quittait Skaftafell sur une route enneigĂ©e guidĂ©e par les pilons jaunes.


AprĂšs une soixantaine de kilomĂštres vers l’est sur la Route 1 et passĂ© un joli pont suspendu de l’embouchure du lac JökulsĂĄrlĂłn, nous Ă©tions rendus Ă  la plage de diamants, mieux connu sous le nom de Diamond Beach. Vu que nous Ă©tions un peu en avance pour l’expĂ©dition, nous sommes allez nous garer prĂšs de la mer et nous avons marchĂ©s vers la plage. 


Le soleil se lĂšve sur Diamond Beach


Pour s’y se rendre, il a fallu se faufiler entre des gros blocs de glace enneigĂ©e Ă©chouĂ©e puis rendu sur cette plage de sable volcanique noir, nous avons pu admirer ce chef d’Ɠuvre de la nature. Il y avait plusieurs photographes amateurs d’installĂ© avec leur tri pieds.


La plage Ă©tait remplie de morceaux de glace Ă©parpillĂ©s sur le sable. Avec le soleil et la mer comme fond de toile, le spectacle Ă©tait impressionnant. Ces restants de glaciers provenant du lagon de JökulsĂĄrlĂłn sorte de l’embouchure et vienne finir leurs vies Ă©chouĂ©es sur la plage. 


Zachary Ă©tait tellement concentrĂ© a photographiĂ© et filmer cette scĂšne qu’il n’a pas remarquĂ© que les vagues s’approchaient proche de ses pieds et failli se faire mouiller. Une chance que ses parents Ă©taient lĂ  pour l’aviser.


Nous avons par la suite remonté à bord de Marco et avons traversé la Route 1 pour aller au lagon de Jökulsårlón. Nous avons été confirmer notre réservation auprÚs de la compagnie Ice Explorers. Ils nous ont donnés des casques et des crampons à petites chainettes.

Il y avait un méchant gros long camion GMC monté sur des grosses bottines. Vu que nous étions en avances, le narrateur et Zachary ont été admirer le lagon de Jökulsårlón.


 JökulsĂĄrlĂłn, signifiant littĂ©ralement en français Â« lagune du glacier Â», est le plus connu et le plus grand des lacs proglaciares en Islande. Suite aux changements climatiques qui ont dĂ©butĂ©s vers 1920, ce lagon est apparu entre 1934 et 1935, sa superficie est d'environ 18 km2actuellement. Sa profondeur maximale de 260 mĂštres lui donne la premiĂšre place entre les lacs les plus profonds du pays.


lac Jökulsålón


Les blocs de glace se dĂ©tachant du front du glacier Vatnajökull, plus prĂ©cisĂ©ment de la langue du BreiĂ”amerkurjökull, dĂ©rivent sur le lac, puis rejoignent la mer. Ils s'Ă©chouent alors frĂ©quemment sur la plage de sable noir. Les couleurs de ces petits icebergs vont du turquoise au bleu foncĂ©, en passant par le jaune qui vient du sulfure volcanique, le noir qui vient de la cendre des volcans et le blanc en plusieurs nuances.


Alors que nous Ă©tions en train d’admirer ce spectacle de glace mobile, Manon nous faisait signe qu’il Ă©tait temps de monter Ă  bord du monstre aux pneus ballonne. Nous sommes partis sur la Route 1 vers l’est et nous avons pu voir des reines en bordure de route. Selon le conducteur-guide, un Islandais a fait leur Ă©levage au dernier siĂšcle sans grand succĂšs et il en reste quelque peu dans le secteur en libertĂ©. 


Au loin vers le nord, nous pouvions voir l’immensitĂ© du glacier Vatnajökull. Nous avons Ă©tĂ© surpris quand nous avons quittĂ© la route 1 pour nous diriger sur un chemin cahoteux d’apprendre qu’ils nous restaient 8 km. Ă  faire. Toujours selon notre conducteur-guide, il y a une vingtaine d’annĂ©e, le glacier se rendait jusqu’à la route 1 et maintenant il fond rapidement.


Vingt minutes plus tard, nous avons descendu du Monster Truck et mis nos casques et crampons. L’immensitĂ© du glacier Vatnajökull Ă©tait encore plus grandiose. Ils nous restaient quand mĂȘme une quinzaine de minutes de marche pour se rendre au pied du glacier.

glacier Vatnajökull

Plus que nous nous approchions, plus nous pouvions constater l’ampleur de Vatnajökull. Celui-ci couvre une superficie de plus de 7,900 km/2 et il a une Ă©paisseur maximale de 1,250 pieds. C’est des chiffres impressionnants. Sa hauteur semblait ĂȘtre de plusieurs Ă©tages.


Quand nous sommes arrivĂ©s, nos yeux Ă©taient grand ouverts devant ce spectacle Ă©poustouflant de la nature. Un mur vitrĂ© d’une couleur bleu aqua turquoise Ă  perte de vue. Un peu plus loin, nous avons passĂ© sous une arche de glace et continuĂ© vers un trou qui menait sous Vatnajökull.



Zachary Ă©tait excitĂ© et disait c’était le meilleur endroit qu’il avait vu du voyage. Il se promenait partout sous le glacier et vu que le plafond baissait au fur Ă  mesure que nous avancions, le narrateur devenant quelque peu claustrophobe a Ă©tĂ© obligĂ© de le laisser aller son fils seul.


Il fut soulagĂ© de le revoir apparaitre quelques minutes plus tard. Zachary a trouvĂ© un trou dans le plafond ou il pouvait entrer sa tĂȘte au complĂšte lui donnant des allures de martien. Dans une autre partie, il y avait une ouverture en forme de cƓur d’oĂč nous pouvions voir le ciel. Nous aurions pu passer la journĂ©e a contemplĂ© ces lieux.



Notre guide a patientment attendu notre groupe et il nous amenĂ©s a un autre endroit du glacier. AprĂšs cinq minutes de marche, nous pĂ©nĂ©trons dans un immense bol en demi-lune de glace d’une hauteur de plusieurs mĂštres. Il y avait Ă©galement une grande arche d’une dizaine de mĂštres de haut. Zachary voulait aller dans celui-ci mais le guide l’a empĂȘchĂ© car celui-ci pourrait pu tomber Ă  tout moment.



En regardent les murs de glace de prĂšs, nous pouvions voir la glace mĂ©langer avec du sable volcanique. Selon l’endroit observĂ©, la densitĂ© du sable variait. Ce magnifique site Ă©tait dĂ©jĂ  spectaculaire malgrĂ© la blancheur de neige couvrant plusieurs parties bleu aqua turquoise de ce monstre de glace. ImaginĂ© cher lecteur ce site sans neige
serait Ă©tĂ© incroyable.



Nous avons dĂ©fait nos pas, et sommes retournĂ© Ă  bord du Monster Truck d’Ice Explorers pour le chemin du retour pour le lagon de JökulsĂĄrlĂłn. Le conducteur-narrateur n’ayant plus d’information a nous transmette a mis de la musique. Le narrateur Ă©tait trĂšs stupĂ©fiĂ© de reconnaitre cette musique. C’était un CD du groupe KALEO qu’il avait reçu en cadeau pour NoĂ«l de sa belle-fille Catherine. A sa grande surprise, il venait de dĂ©couvrir qu’il s’agissait d’un groupe Islandais. TrĂšs bon.




Vidéo de KALEO faite en Islande


Rendus sur les lieux, le stationnement Ă©tait bondĂ©. Nous avons levĂ© le toit de Marco et Zachary s’est affairĂ© a nous prĂ©parer un bon diner pendent que le narrateur est retournĂ© admirer le lagon.


AprÚs un bon pain roulé au poulet et épinards, nous avons traversé la route 1 de nouveau pour retourner à Diamond Beach revoir les diamants glacés sur la plage. Vu la différente position du soleil, ceux-ci avaient une couleur plus bleuùtre. Nous avons passé de long moment a regarder les vagues frapper les blocs de glaces causant ceux-ci a se déplacer et changer de couleurs.


Diamond Beach


Vu que l’heure avançait, nous avons reprit la 1 vers l’est. En route, nous sommes encore arrĂȘtĂ©s en bordure pour faire la connaissance de d’autres cheveux Islandais. Ce troupeau Ă©tait plus nombreux que la fois prĂ©cĂ©dente.


Nous avons continuĂ© sur la route 1 et nous avons passĂ© le village d’Höfn pour nous rendre prĂšs de Stokksnes. Il s’agit d’une reproduction d’un village Viking construit en 2010 au pied du mont KastarĂĄrfjall pour en faire un plateau de tournage pour une tĂ©lĂ© sĂ©rie qui n’a jamais eu lieu.


mont KastarĂĄrfjall


Un fois Marco garĂ©, nous voyions au loin le village qui semblait minuscule au pied de cette grosse montagne. Zachary a pris les devants et nous avons marchĂ©s +- 1 kilomĂštre dans la neige pour s’y rendre. Le paysage Ă©tait sublime.



Le lieu est a l’abandonne et les bĂątisses sont des coquille vide. C’était quand mĂȘme impressionnant et cela nous donnaient une idĂ©e a quoi ça ressemblait a l’époque des Vikings. Cela nous rappelaient notre visite du village Viking Ă  L’Anse-aux-Meadows Ă  Terre-Neuve lors de nos vacances d’étĂ© 2018.


village Viking de Stokksnes


De retour Ă  bord de Marco, nous avons continuĂ© sur un petit chemin en gravel qui menait vers un phare et un radar de dĂ©fense arienne Islandais. Il y avait quelques vĂ©hicules de stationnĂ© sur ce chemin et il y avait plusieurs photographes munis de camĂ©ra montĂ©e sur des trĂ©pieds qui pointaient leurs objectifs vers le mont KastarĂĄrfjall. Ils semblaient attendre le moment d’éclairage optimal. 

Apparemment, c’est l’un des endroits les plus prisĂ© d’Islande pour prendre des photos. Vu la beautĂ© de la montagne en bordure de la mer, nous ne pouvons pas les contredire, vraiment joli.


port de Höfn

Étant en fin d’aprĂšs-midi, nous nous sommes dirigĂ©s vers le village de Höfn (port en Islandais). C’est un port de pĂȘche situĂ© sur une pĂ©ninsule dans le sud-est de l'Islande et est entourĂ© par la mer dans trois directions, ce qui les donne un beau cachet visuel.


AprĂšs une petite Ă©picerie, nous avons fait le contour du village en admirant ces beaux panoramas avec comme fond de touille le soleil qui disparaissait tranquillement. Nous avons soupĂ© dans un petit restaurant prĂšs du port se nommant HafnarbĂșdin. Nous avons tous optĂ© pour un gendre de sandwich aux fruits de mer et le narrateur s’est mĂȘme laissĂ© aller dans ses dĂ©penses en se commandant une biĂšre Egils Pilsner sans alcool.








Suite au souper, Manon nous a suggĂ©rĂ© d’aller prendre un bain thermal prĂšs de la sortie du village. Elle a entrĂ© les donnĂ©es pour les Hoffell Hot Tubs. Nous sommes sortis du village par la route 99 puis nous avons pris la route 1 vers l’ouest et avons empruntĂ© un chemin enneigĂ©.


Toujours d’aprĂšs les entrĂ©es de Manon sur GoogleMap, nous avons un autre chemin plus enneigĂ© et plus isolĂ©. Il y avait seulement des pistes de tracteur dans la neige et nous Ă©tions rendus dans le centre d’une plaine au milieu de nul part. 



Selon notre iPhone, nous Ă©tions Ă  15 minutes de marche des Hoffell Hot Tubs. Au loin, nous voyions de la vapeur provenir prĂšs des montagnes. Le narrateur a pris la dĂ©cision de garer Marco et faire le reste du chemin Ă  pied. 


Ce fut une sage dĂ©cision car quelques mĂštres plus loin, il avait un cour d’eau qui aurait Ă©tĂ© impossible de traverser avec Marco. Nous l’avons contournĂ© et continuĂ© notre chemin dans la noirceur vers les nuages vaporeux. 


Le narrateur commençait a ce demandĂ© si c’était sage de marcher dans la noirceur avec un enfant de 11 ans vers un endroit inconnu au milieu de nul part. Il pensait aussi au fait qu’il faillait se changer Ă  l’extĂ©rieur pour mette les maillots de bain et il avait la chienne de se geler les couilles.


en route pour Hoffell Hot Tubs


Soudainement, le vent s’est mis de la partie ce qui a faite monter le niveau de stress du narrateur d’une coche. Quand Zachary a commencĂ© a dire qu’il voulait tourner de bord a cause du vent, le narrateur a pris la dĂ©cision d’abandonner l’idĂ©e d’aller aux bains thermale et de retourner Ă  bord de chaleur et la sĂ©curitĂ© de Marco. 


Aussi tĂŽt que nous avons virer de bord, le vent a disparu. Manon voulait continuer, mais elle n’a pas rĂ©ussi a faire changer d’idĂ©e a ses hommes. Alors que nous quittions les lieux, nous avons croisĂ© des touristes Allemandes qui cherchaient les Hoffell Hot Tubs. Nous les avons convaincus de rebrousser chemin.


petite lecture avant le dodo bien merité

Ne voulant pas faire trop de route le lendemain, nous avons dĂ©cidĂ© de quitter Höfn pour retourner coucher au camping de Skaftafell. Nous avons fait deux heures de route dans la noirceur Islandaise vers l’ouest sur route 1 en ensuivant les piquets jaunes. Rendu en terrain connu, le sommeil fut facile et bien mĂ©ritĂ©.

Une autre longue et belle journée bien remplie. Merci la Vie ! ! !





6 mars


DerniĂšre grosse journĂ©e complĂšte Ă  passer en Islande, nous avions plus de 5h de route affaires pour retourner vers l'ouest et se rapprocher de l'aĂ©roport pour notre dĂ©part demain. 


Notre premiĂšre destination prĂ©vue Ă©tait d'aller voir la caverne d’HjörleifshöfĂ°i. En quittant la route 1, nous avons empruntĂ© un sentier enneigĂ© qui nous menant vers la mer. À mi-chemin, il y avait plusieurs vĂ©hicules de stationner dans le milieu de la plaine. Les gens ne voulaient pas risquer de se prendre dans la neige et ils continuaient Ă  faire le reste Ă  pied. Étant en fin de voyage et un peu fatiguĂ© de marcher, le narrateur et ses soldats, hĂ©sitaient de vouloir marcher et ils Ă©taient tentĂ©s de continuer Ă  bord de Marco . AprĂšs quelques minutes sans savoir ce que faire, nous avons dĂ©cidĂ© de laisser faire et continuĂ© notre route vers l’ouest.


Rendu Ă  VĂ­k, nous avons fait le plein d’essence et puis nous montĂ© Ă  vers l’église. Celle-ci est juchĂ© au haut d’une colline et elle semble protĂ©ger les 2000 Ames de VĂ­k. Le point de vue est superbe et nous pouvions voir les ilots de Reynisdrangar (stacks) ainsi que la ville.


*** Un stack, appelĂ© aussi Ă©peron d'Ă©rosion marine, est un pilier, une aiguille ou un pinacle de pierre dĂ©tachĂ© du littoral par l'Ă©rosion et pouvant ou non former une Ăźle.*** (wikipĂ©dia)


l'Ă©glise de VĂ­k et les stacks Ă  gauche de celle-ci


En quittant la ville de VĂ­k, nous avons pris la 215 pour retourner vers Reynisfjara Beach car il faisait noirceur quand nous nous y Ă©tions rendus le 3 mars.


Le dĂ©tour en valait la peine et un beau ciel sans nuage Ă©tait au rendez-vous mettant en Ă©vidence la plage de sable volcanique noir. Loin Ă  l’ouest, nous pouvions voir DyrhĂłlaey et ses trous dans sa pĂ©ninsule. 



À l’est, prĂšs de nous, il y avait une falaise et un bout de celle-ci prĂšs de la mer, elle avait Ă©normĂ©ment d’orgues basaltiques. Ceux-ci se crĂ©e suite Ă  l’éruption des volcans quand la lave se refroidie et des colonnes de pierres en forme hexagonale sont formĂ©. 






C’est vraiment spĂ©cial. Zachary s’est amusĂ© Ă  les grimper et le narrateur l’a photographiĂ© sautant ceux-ci. A cĂŽtĂ©, il y avait un gendre de caverne ou les pierres des murs et plafonds Ă©taient particuliĂšre. Notre fils a passĂ© de longs moments au fond de la caverne assis Ă  jouer dans le sable et prendre des photos surement au grand mĂ©contentement de quelques touristes qui auraient aimĂ© prendre des images de la caverne sans le petit canadien. Nous avons partagĂ© ces moments magiques avec notre amis Denis via FaceTime ainsi qu’avec la grand-maman paternelle de Zachary.


Pendent que le narrateur contemplait ce lieu incroyablement joli et absorbant des rayons de soleil, Manon et Zachary étaient en train de préparer des bons wraps pour diner.


Il nous restait encore amplement de route Ă  faire en cette derniĂšre journĂ©e complĂšte en Islande. Manon commençait Ă  ressentir les symptĂŽmes de la semaine avant, donc mĂ©ga migraine et elle avait beaucoup de difficultĂ©s Ă  s’endurer. Elle se cachait les yeux pour avoir moins mal.


Manon et Zachary 

Nous avons continuĂ© notre chemin de retour et deux heures plus tard nous Ă©tions rendus au volcan KeriĂ”. Manon ne se sentant pas mieux est restĂ©e Ă  bord de Marco. 


Le narrateur et Zachary ont fais le tour du cratÚre de 55 mÚtres de profondeur, 170 mÚtres de largeur et 270 mÚtres de longueur. Le lac au fond de celui-ci était gelé. Selon différentes références, ce volcan a faite éruption entre 3000 et 5600 ans. La marche fut intéressante de 20 minutes malgré les forts vents. Nous avions une belle vue des vallées avoisinantes.


volcan KeriĂ”


Nous avons tentĂ© de retourner vers KrysuvĂ­k (zone gĂ©othermique avec sources chaudes) et le Lac Kleifarvatn situĂ© sur la route 42 que nous avons manquĂ©s a notre premiĂšre journĂ©e en Islande, mais les route que nous emprunter nous ont encore conduit vers une route fermĂ©. La 417 menait seulement au centre de ski Blafjöll, la junction qui allait vers la 42 pour KrysuvĂ­k (zone gĂ©othermique avec sources chaudes) et le Lac Kleifarvatn Ă©tait barrĂ©. 


Nous sommes retournĂ©s vers la route 1 vers Reykjavik. Rendu Ă  la capitale, nous avons une autre option pour la route 42, mais vu l’heure et la fatigue de la semaine dans le corps, nous avons optĂ© de laisser faire et continuer notre route vers notre dernier camping de Zachary en Voyage -RelĂąche 2020.


camping Tjaldvaedi Ă  Grindavik
Au peu avant l’heure du souper, nous sommes arrivĂ©s au camping Tjaldsvaedi Ă  Grindavik. C’était le plus beau camping Ă  date. La cuisine commune Ă©tait flambant neuve et des grandes salles de bain propre. 



Le vent Ă©tait violent et nous avons garĂ© Marco de reculons Ă  la bĂątisse pour le protĂ©ger un peu de vent. Nous avons fait notre souper dans la cuisine commune avec d’autres campeurs et avons jouĂ©s aux cartes en soirĂ©e. MalgrĂ© les forts vents, nous avons bien dormis.


Une grosse journée de route. Demain, mùtiné de relaxation et début du retour vers la maison en aprÚs-midi.



7 mars


DerniÚre journée dans ce magnifique pays. Nous avons pris notre déjeuné dans la belle cuisine du camping Tjaldsvaedi à Grindavik. Les vents violent étaient toujours au rendez-vous. Nous pouvions voir de les belle grande vitrines de la salle à manger le port de Grindavik et les bourrasques de neige poudreuse poussé par les grands vents.


Nous nous sommes mis en route pour le Blue Lagoon pour notre derniÚre journée passé en Islande pour se faire gùter et relaxer. AprÚs 10 minutes en route nous étions arrivés.


AprĂšs s’ĂȘtre stationnĂ©, nous avons marchĂ© le long d’un long chemin entre des grosse pierres volcaniques jusqu'Ă  l’entrĂ©e. Il est situĂ© prĂšs de la centrale Ă©lectrique gĂ©othermale de Svartsengi au milieu d’un champs de lave. Le site utilise l’eau thermal provenant de ce site suite Ă  un forage de plus de 2000 mĂštres. L’eau riche en silice du Lagon Bleu est de 30 Ă  39 degrĂ©s celcius.



Une fois Ă  l’intĂ©rieur, nous avons constatĂ© un endroit hyper moderne. Manon avait fait une rĂ©servation depuis le Canada le mois prĂ©cĂ©dent. Zachary Ă©tait quelque peu stressĂ© car il savait qu’il devait prendre une douche nue avant de pouvoir aller dans les bains thermaux.


Une fois nos douches prises, nous avons attendus Manon prĂšs de la sortie du bassin d’eau. Elle se faisait encore attendre. Une fois notre amour arrivĂ©, nous avons descendu des marches menant vers un corridor qui contenait de l’eau jusqu'Ă  Ă  la hauteur des hanches. 


Au bout de ce corridor, il y avait une porte dans l’eau, une fois passĂ© celle-ci, aprĂšs avoir passĂ© sous un pont, nous Ă©tions confrontĂ©s devant l’immensitĂ© de ce grandiose spa Ă  aire ouverte de plus de 8700 mĂštres carrĂ©s. Le lieu est vraiment impressionnant. L’endroit est tellement grand que malgrĂ© qu’il y avait beaucoup de gens sur le sur les lieux, nous n’avions pas l’impression d’ĂȘtre trop.

Blue Lagoon, belle façon de terminer un merveilleux voyage


La tempĂ©rature de l’eau varie en 30° et 39° C. selon secteur. Nous avons explorĂ© l’endroit et nous nous sommes rendus au comptoir du « mask bar Â». LĂ , ils nous ont donnĂ© de la silice qui est un produit crĂ©meux blanchĂątre provenant de la terre et tu l’étant sur ton visage. Ce produit est supposĂ©ment magique pour la peau. C’était drĂŽle de voir plein de gens avec des masques blanc.


du silice provenant de la terre

AprÚs une heure à se promener dans le bassin et un bon smoothie offert gratuitement, nous avons été nous détendre dans piÚce surélevé avec une belle vue sur le bassin. Zachary en a profiter pour relaxer et finaliser la lecture de son premier grand bouquin.


Manon et le narrateur sont retournĂ© dans l’eau et au « mask bar Â» profiter du silice pour leurs veille peau.  


Quelle façon incroyable de terminer ce merveilleux voyage!


Une fois nos douches prises et s’ĂȘtre rhabillĂ©e, nous Ă©tions de retour Ă  bord de « Marco Â» avec nos visages Ă©blouissants. Nous sommes arrĂȘtĂ©s dans un « Dominos Pizza Â» et nous avons Ă©tĂ© la manger dans le port de Keflavik prĂšs de l’aĂ©roport. Nous avons vidĂ© campeur et faites nos bagages pour prĂ©parer notre retour Ă  la maison via Boston.


Quel pays magnifique. La nature est maitre et les Islandais respirent le bien-ĂȘtre. Zachary semble avoir adorĂ© sont aventure et il a Ă©tĂ© encore une fois un bon voyageur, bravo fiston.



A+




vidĂ©o de Zachary en Voyage-RelĂąche 2020-Islande 🇼🇾



 Mot de la fin du narrateur



 KĂŠru Ă­slenskir ​​vinir, landiĂ° ykkar er 

einstaklega hreint og fegurĂ°. 

ViĂ° elskuĂ°um aĂ° eyĂ°a viku ĂĄ fallegu eyjunni ĂŸinni Ă­ miĂ°ju Atlantshafi. 

Ég er aĂ° fara frĂĄ Íslandi meĂ° ĂŸaĂ° fyrir augum 

aĂ° snĂșa aftur ĂŸangaĂ° einn daginn til aĂ° halda 

ĂĄfram aĂ° skoĂ°a ĂŸessa paradĂ­s. 


- Press đŸ˜‹


A+

Aucun commentaire: